« Enseigner à l’école le chant et la musique de telle façon que l’enfant les considère comme une source de joie et non pas de peines, joie qui l’accompagnera durant toute sa vie, suscitant en lui la soif de musique. »
« On ne peut pas saisir la musique par l’intellect, aussi ne doit-elle pas apparaître devant l’enfant comme une notation algébrique, comme une écriture chiffrée, un langage qui lui est indifférent. Il faut que nous préparions pour l’enfant la voie d’une perception directe et intuitive. »
(Gyermekkarok 1929. Visszatekintés (Un regard en arrière), recueil d’articles publiés du vivant de Kodály sous la direction de Ferenc Bónis, Budapest, Zenemûkiadó, 1964, tome 1 p. 39.)« Tous les peuples possèdent de nombreux chants populaires particulièrement adaptés à l’enseignement.
S’ils sont bien choisis, ces chants constituent le matériau idéal pour faire découvrir aux enfants les différents éléments musicaux et leur en faire prendre conscience. »